Malgré la loi sur l’IVG de 1978, il devient de plus en plus difficile d’avorter légalement en Italie. Le nombre de médecins objecteurs de conscience ne cesse d’augmenter et, du coup, les structures où il est possible d’avorter se réduisent. A Rome, avec 91% de gynécologues objecteurs, elles ne sont plus que 10 à assurer ce service sur les 30 qui, en principe, prévoient l’IGV. Les femmes qui, malgré cette situation désastreuse, décident d’avorter font face à un véritable parcours du combattant. Celles qui en ont les moyens tentent d’aller à l’étranger ou recourent, avec tous les risques que cela comporte, à l’avortement clandestin. Salvatore Aloïse avons rencontré, près de Naples, une femme qui a avorté et qui a écrit un livre pour dénoncer ce qui lui est arrivé.
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L’Associazione Luca Coscioni è una associazione no profit di promozione sociale. Tra le sue priorità vi sono l’affermazione delle libertà civili e i diritti umani, in particolare quello alla scienza, l’assistenza personale autogestita, l’abbattimento della barriere architettoniche, le scelte di fine vita, la legalizzazione dell’eutanasia, l’accesso ai cannabinoidi medici e il monitoraggio mondiale di leggi e politiche in materia di scienza e auto-determinazione.